Nous nous sommes installés sur des espaces inoccupés, pour la plupart depuis plusieurs décennies, évoluant vers un couvert forestier, ou embroussaillés de friches de ronces, d’arbustes et de jeunes arbres.

L’espace “jardins” à notre arrivée
Parcelle envahie par les bruyères, les ajoncs et les ronces

Des landes de bruyères et d’ajoncs sont localement développées.

Nous avons donc composé avec les milieux naturels présents, faune et flore dans leurs habitats.

Nous y insérons progressivement les cultures et élevages en essayant de :

  • cohabiter avec la faune, en protégeant les cultures, jardins et vergers, des cerfs, chevreuils, sangliers, lièvres (clôture électrifiée, grillages)
1ères plantations et protection contre les entrées de chevreuils

Ouverture des parcelles au gyrobroyeur
  • réouvrir des espaces en cours de fermeture forestière et augmenter la ressource herbagère en modulant nos actions pour perturber à minima les écosystèmes et préserver des liaisons (débroussaillage ciblé, fauche limitée, pâturage saisonnier)

– limiter l’érosion et l’impact sur l’hydrosystème (éviter un sol non couvert, plantations sur terrasses-talus, préservation des mares, pâturage saisonnier des mouillères)